Remarques générales
Des enchantions prélevés sur la population de Ouagadougou :
Sur internet :
Quel est le taux de couverture des foyers Ouagalais en
ordinateurs ?
S’agit-il de cybers café truffés d'agents des oppositions
hétéroclites ?
S’agit-il d'officines obscures spécialistes de la
manipulation qui ont téléguidé cet échantillonnage ?
L'adresse IP des ordinateurs prouve-t-elle que les
ordinateurs sont géo localisés à Ouagadougou ? (Ah naïveté !)
Combien de clics les votants professionnels rassemblés ont-ils
exécutés?
7435 internautes <<votants >>
Le CENATRIN peut-il
valider les données que Burkina24 prétend nous présenter comme solides ?
Le citoyen lambda peut-il avoir accès à ces données ?
Peut-il les faire contre expertiser par un institut
indépendant?
L’identité des internautes << votants >> peut
être fournie par Burkina24 pour cette contre-expertise ?
Quelles sont les catégories socio-professionnelles
<<sondées >>?
Quel est l'âge moyen des internautes <<votants
>> ; leur sexe ; leur profession (libérale ou agent public) ?
De tous ces paramètres scientifiques pour un sondage sérieux
rien ne nous est communiqué.
Tout sondage qui se veut sérieux donne sa propre marge
d'erreur. Ni Burkina24 encore moins Honko P. Bemanhoun dont l'échantillonnage
de 158 enquêtés est si ridiculement insignifiant, même pour Ouaga seulement,
pour prétendre dire quoi que ce soit a fortiori,
tirer une conclusion. Ils ne fournissent au grand public Burkinabè tous ces
paramètres scientifiques pouvant valider la scientificité de leur démarche.
Conclusion partielle
Toute projection de ces deux démarches est frappée
irrémédiablement d'irrecevabilité par la communauté scientifique des sondeurs
sérieux. Facteur aggravant des deux fausses photographies de l'opinion
Burkinabè, puisse qu'au surplus, visuellement, l'on perçoit que celui qui écrit
les arguments a, volontairement écourté ceux en faveur du OUI, pour surajouter
à ceux du NON.
Intention malicieuse
!
De la conclusion de Burkina 24 : << L’opposition
en pôle position >>
1.
Votre conclusion : « Sur la base de ces deux sondages, en
prenant en compte leur pertinence et leurs insuffisances, on peut tirer la
conclusion que la révision de l’article 37 de la Constitution n’a pas une
grande côte de popularité dans l’opinion burkinabè … ».
Cette conclusion est hâtive et
abusive puisse que comme on vient de le démontrer aucun paramètre scientifique
n'a été communiqué. En plus vous dites que Mr. Honko P. Bemanhoun a
échantillonné sur la ville de Ouagadougou. Ne voyez-vous pas l’incohérence de
votre conclusion quand on sait que Ouagadougou n’est pas le Burkina Faso? Au vu
de tout cela, l'on est en droit légitimement de douter de sa représentativité.
2.
Du classement manipulateur des personnalités du
Burkina futur
Messieurs, Diabré, Kaboré, Bado, Diallo sont des étalons sans bilan. Tout citoyen
responsable peut bien constater que ces
quatre étalons sont des prometteurs professionnels, des vendeurs de rêves
inspirés par leur soif effrénée de devenir président tandis que Bado reste le
polémiste national même s'il est sans talent.
3.
Messieurs, François Compaoré, Kouanda et Fatou Diendéré sont des leaders de
réserve. Ils ne sont pas encore au front de la campagne référendaire à venir.
L'on ne peut donc pas juger des résultats de leur leadership en devenir.
Sondage de 2010 du centre d'Ibriga
Ibriga est un partisan du NON. A priori, aucun de ses
sondages ne saurait être digne de créance.
Ceci d'autant plus qu'il instille la haine entre les citoyens Burkinabè en
s'octroyant le droit de dire qui est Burkinabè et qui ne l'est pas. Malgré cet
a priori, qui invalide les <<résultats>> d'Ibriga, malgré la
manipulation des données statistiques, la non communication des paramètres
scientifiques de ces trois <<sondages>> Commandités par les partisans du NON, une seule conclusion honnête
s'impose, attestée par <<leurs>> propres données : Le OUI progresse.
Unique conclusion logique : La progression du OUI
Si le OUI était à 32% selon <<leurs>> compilations
non scientifiques en 2010 selon Ibiriga, ces mêmes commanditaires partisans
attestent aujourd'hui suivant Burkina24 que le OUI est passé de 32% en 2010 à
48 % en 2014. L’ensorceleur médiatique est ensorcelé par ses propres chiffres!
Les leaders coalisés hétéroclites du NON ont déposé leurs
arguments puisse que Diabré, Kaboré, Diallo, sont en campagne depuis 2010.
Tandis que le leader naturel de notre pays, le bâtisseur et le père de la
floraison démocratique dont nous nous prévalons avec fierté, n'a pas encore dit
un mot, un seul mot. Les autres, les oppositions qui sont en campagne permanente depuis 2010,
peinent à être à 50% même agrippés à
des données frauduleuses.
Les partisans de la continuité éclairée avec le Président
Blaise Compaoré ont des réserves de voix. Celles-ci sont solides et
inébranlables des campagnes reculées aux zones semi urbaines que les élitistes
de l’opposition appellent «bétail électoral». L'accélérateur ultime des vents
favorables au OUI, se nomme le Président Blaise Compaoré. Son mot est si rare
qu'il est tant attendu. Son geste engagera la marche triomphale du OUI dans
la fraternité et la paix. En attendant, il est au travail, au service de la
nation, tandis que les chômeurs politiques perpétuels autoproclamés leaders des
oppositions disparates font campagne désespérément pour trouver les chemins de
KOSSYAM par des NI NI NI, qui,
certainement, vont les momifier si ce n'est déjà le cas.
Pour finir, Burkina24 gagnerait mieux à trouver un vrai
journaliste pour l’aider dans ce genre d’exercice et laisser la couverture des fêtes
et autres festivités à Mr. Zouré.
Zongo Jean Paul
Statisticien
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